Le scandale de l'insécurité.

Publié le par Mas

Tous ont eu leur petite phrase sur l'émeute qui s'est déclenché Gare du Nord hier à Paris. Malheureusement pour les candidats du système, la réalité les a rattrapé plus vite que prévu, les problèmes des Français ne se sont pas dissous devant le sourire de Ségolène, celui de François ou de Nicolas.

La campagne qui voulait occulter de fait les problèmes d'insécurité, d'immigration et d'identité se trouve maintenant entraînée sur un terrain plutôt glissant pour la camarilla d'incapables qui nous gouverne depuis maintenant plus de trente ans.


François Baroin remplace Nicolas Sarkozy au ministère de l'intérieur mais le discours ne varie pas. On serre des maxillaires, et surtout, on ne fait rien.

Officiellement, il n'existe pas de liens entre les émeutes de l'année dernière, les problèmes dans les banlieues et ce qui s'est passé gare du Nord. Julien Dray en tant que porte-parole de la candidate socialiste regrette un signe d'éloignement entre la police et la population : comme si la horde de sauvages qui a agressé les forces de l'ordre avait quelque chose à voir avec la population.

Il ne faut pas avoir un doctorat de sociologie, être ancien ministre dans les gouvernements Chirac, Jospin ou Mitterrand pour comprendre l'essentiel du problème. Il suffit de regarder les émeutiers d'aujourd'hui, ceux d'hier qui avaient transformé l'esplanade des Invalides en zone de guerre, la racaille qui détruit quotidiennement la vie des cités. Ces fameux "jeunes" ne sont que des bandes ethniques, des immigrés déracinés qui ne perçoivent l'autorité de l'Etat que comme une agression. La cause de l'émeute Gare du Nord est flagrante. Un individu de nationalité Congolaise, en situation irrégulière, déjà inquiété dans 22 autres affaires judiciaires violentes s'en est pris aux contrôleurs. La multitude d'allogènes a spontanément pris le parti de l'émeute, contre la police. Pour cette engeance, un contrôle est vécu comme une insulte, une amende comme une voie de fait insupportable, et l'intervention des forces de l'ordre comme toujours oppressive. Il a fallu des heures pour rétablir l'ordre pour une affaire de droit commun qui en situation normale devait durer quelques minutes.


Comment peut-on encore accorder une seconde de crédit à la clique qui répète ad nauseam que l'immigration est une chance pour la France, que la transformation sociologique de la population n'a pas d'incidences sur notre identité, et que l'extension de la violence n'est qu'un phénomène passager et bénin ? Le peuple tranchera, et karchérisera tout ce beau monde.

 
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Publié dans Société

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